6 soirées repas/projections les 3, 4, 6, 7, 10 et 11 décembre 2001
Liste des artistes :
Stéphane ABBOUD, Sandy AMERIO, Dj Jive BIQUETTE, Laëtitia BOURGET, Yan CIRET, Philippe FERNANDEZ, Céline FINIDORI, Benoît FORGEARD, Pierre GERBAUX, Augustin GIMEL, Julien HÔ-KIM, Sydney HOUILLIER, Serge LEIGNEL, Laurent MAIRE, Régis PAQUOT, François PARRA, Marc PLAS, Michel PLATINISTE, le collectif REZAL 404, Barbara TANNERY, le collectif ZVIET NÉVA (Anne FAVE,Emmanuel CARQUILLE, Erwan HUON).
Un chef cuisinier (3 pour les 6 soirées) travaille dans un “tunnel” aménagé en cuisine, fermée par une porte, débouchant sur l’espace de la galerie. Cinq tables sont dressées et accueillent 20 convives qui auront réservé. Le repas raffiné qui leur sera servi est préparé dans la “cuisine-tunnel”.Des musiques “easy listening”, composées en live à une table de mixage ou un ordinateur, par un DJ ou un collectif (3 pour les 6 soirées), présents dans la galerie ou reliés par internet, sont diffusées, en réponse aux thèmes des plats proposés.Des sélections de vidéos et de films expérimentaux (18 vidéastes et cinéastes pour les 6 soirées) sont projetées en quatre ou cinq séquences au cours de la soirée (3 vidéo projecteurs, des projecteurs 16 mm et jusqu’à 5 projecteurs 8 mm).
Pour ces 6 soirées, le gustatif, l’olfactif, l’auditif et le visuel seront mixés dans une valse “transversale’’.
Les artistes de ces soirées mixMEDIA ont été choisis pour l’engagement qu’ils traduisent par leur art ; qui répond à l’engagement de 3015 dans la qualité des conditions de souplesse et d’adaptation proposées à l’accueil de ces artistes. L’exigence humaine et artistique de leur approche, les supports de leurs pratiques - essentiellement mais non exclusivement : les possibilités offertes par les technologies nouvelles font partie des critères de base qui nous conduisent à travailler ensemble.
mixMEDIA propose des croisements, des connexions paradoxales et complémentaires, des interférences alternées et simultanées qui respectent les œuvres de chaque artiste afin de rendre clair sa pratique et de permettre qu’elle ne soit l’otage consentant des parasites sonores et humains inévitables des espaces d’exposition.