Attention : les éléments de biographies ci-dessous ne sont pas réactualisés. En revanche, les liens sur les artistes pointent sur des sites réactualisés régulièrement.
Né en 1964. Vit et travaille à Glasgow Depuis ses débuts, lorsqu’il jouait du xylophone dans le groupe "Primal Scream", Jim Lambie a toujours bien assimilé la valeur de l’improvisation et du geste populaire. A l’opposé de cet art qui se veut et se croit grandiose, Lambie défend l’esprit fait maison et l’énergie terrienne du rock’n roll.
Face à la prétention grossisante du milieu de l’art , le travail de Lambie ne peut pas dissimuler son allure d’une pinte mousseuse de Guiness non-pasteurisée. C’est à dire, très frais et infiniment plus authentique que le breuvage qu’on nous sert habituellement.
Christian Viveros-Fauné,
New York Press, New York, février 2000
Sélection d’expositions et de publications
Expositions personnelles
2000 Blackgloss, Anton Kern Gallery, New York
1999 Voidoid, Transmission Gallery, Glasgow
1999 ZOBOP, The ShowRoom, Londres
Expositions collectives
1998 All or Nothing, triangle france, Friche de la Belle de Mai, Marseille
1997 This is..These are, Kirsty Ogg Gallery, Norwich, Grande-Bretagne
1996 The World of Ponce, Southpark, Glasgow, Écosse
Studio Show, Cal Arts, Californie, USA
Stupidinsanephatfuctpervert, Cubut Street, Londres
Girls High, Fruitmarket, Glasgow
Sick Building, Globe Gallery, Copenhague, Danemark
Stupidinsanephatfuctpervert, Concret Skates, Glasgow
Art for People, Transmission Gallery, Glasgow
Kilt a double, La Vigie, Nîmes
1995 In Stereo, Transmission Gallery, Glasgow
1995 Mary Redmond & JIm Lambie, Assembley Gallery, Glasgow
Johnnie Wilkes & Jim Lambie, 115 Dalriada, Glasgow
Résidences
1998 Triangle France, Friche de la Belle de Mai, Marseille
Publications
2000 Village Voice, février 2000
The New York Times, février 2000, Holland Cotter
New York Press, Christian Viveros-Faune
1999 Time Out, decembre, Martin Herbert
Frieze, mai, Ross Sinclair
Art/Text, Issue 65, Elisabeth Mahoney
1998 Contemporary Visual Arts, issue no 17, LOndres
1997 Newsweek, Vol CXXX, no 16
Zing Magazine, été 97
1995 Circa Arts Magazine, no 75, Richard Wright
BRUNO PEINADO Né à Montpellier en 1970, vit à Nantes et ailleurs
L’oeuvre de Bruno Peinado opère par glissement, contamination, parasitage, et par là-même invite à un arpentage à priori décousu, à une navigation à vue. Son travail s’appréhende dans un chaos logique parfaitement contrôlé. IL est proche d’une pensée «archipélique» nourrie par des sources diverses, et qui va à l’encontre d’une pensée unitaire. L’architecture rhizomique qui sous-tend l’ensemble de ses travaux laisse toujours au spectateur la liberté de suivre son cheminement et d’inventer ses propres bifurcations mentales.(...)
Peinado puise dans le gigantesque réservoir d’images mises à notre disposition par la société de consommation (publicité, logos, slogans...) et par l’appropriation, l’emprunt, le recyclage qui alimentent ses travaux, il égratigne l’idée même de grand Art. Si en procédant ainsi, il questionne notre rapport au quotidien, contrairement à de nombreux artistes de sa génération, ce questionnement s’attarde moins sur des expériences personnelles que sur l’impact qu’opère la culture sur nous. Les images choisies, reproduites à l’envers sur des dessins ou des plaques de verre, se donnent à voir comme un immense montage forcément subjectif, comme un diaporama de notre mémoire collective, à personnifier si affinités.
Claire Guézengar - extraits de Bruno Peinado - L’envers du désordre in Basses résolutions, Galerie Vigna, 1999 Sélection d’expositions
Expositions personnelles
2000
HAND XEROX, featuring A. Declercq, Public, Paris
Les expositions de ma manche rouge, Biennale de Turin , poche de la veste rouge de Lili Reynaud
1999
Basses résolutions, galerie Fr. Vigna, Nice (édition)
le gris du ciel ® a grey dance floor, Zoo galerie, Nantes
1998
le gris du ciel ® commerces triangulés, containers Dan Graham plaza, projet 1998, Nantes
1997
à batons rompus 3 , affiches placardées dans la ville de Nantes, Ass Entre-deux
1996
Nous à qui rien n’appartient... Lorient au bout de l’occident, galerie des Beaux-Arts et Escale Brizeux, Lorient (édition)
1995
Objets trouvés-les trésors de promenade, galerie Oxymore, Nantes (édition)
Expositions collectives
2000
Actif, réactif, Usine Lu, Nantes (édition)
Journey to the centre of the universe, Tramway glasgow (édition)
Parallel universe, Independant project room, Glasgow
R. Milin, Entre deux, M. Laurette, B.Peinado, P. Joseph, P. Huyghes, Lieu Unique Nantes
Copyright, copywrong, Drac Nantes
1999
Draw up, Zoo galerie, Nantes
Spazieren gehen, Künstlerhaus, Hambourg (édition)
Vidéos,Galerie Michel Rein, Tours
Chic et underground, galerie Tohu bohu, Marseille
1998
Or Paire, La Vigie, Nîmes
Quality street, A.Bublex, G.Kosiak, B.Peinado, S.Raquin,
Galerie de la friche Belle de mai, Marseille (édition et catalogue)
V.Barré, P. Malphettes, B.Peinado, Musée des Beaux-Arts, Rodez
Saga, Quai Branly, Paris
1997
Participe Présent, Domaine de Kerghéhennec, Bignan
J’ai épousé une ombre, Maison Billaud, Fontenay le comte (édition)
Fin de siècle, CRDC, Nantes Johannesburg (édition)
Biennale de Cétinjé, Monténégro
Fétiches et colifichets, Zoo galerie, Nantes
1996
Traits révélateurs, CREDAC, Ivry/Seine (catalogue)
Carte blanche à P. Giquel, Galerie Plessis, Nantes
1994
Exposition Post diplôme, Erban, Drac, Nantes (catalogue)
A venir :
2000 (juillet) Air air show, Grimaldi Forum, Monaco
Résidences
1993-1994
Post-diplôme, Nantes
1995
résidence HLM Nouvelle ville, Lorient
1997
résidence à Johanesburg, Afrique du sud
résidence au Monténégro
1998
résidence à Triangle-France, Frichela Belle de mai, Marseille
1999
résidence à Astérides, Friche la Belle de mai, Marseille
1999
résidence à la Künstlerhaus, Hambourg
2000
(mai-juin) résidence tramway, Glasgow, Écosse
LAURENT TERRAS
Né en 1971 à Nîmes - Vit et travaille à Marseille
Laurent Terras propose au sein de sa production artistique une succession de micro-univers interrogeant le système sociétal. Constructions autour du leurre, ses installations faussement naïves exploitent une imagerie simple et ludique. Miroir aux alouettes, l’aspect clinquant et enjôleur de cette première lecture dévoile à terme ses discordances.
A l’instar des «jeux de société», le travail de Laurent Terras utilise l’arme blanche de la manipulation. Reprenant le langage commun des médias, il trompe son interlocuteur et lui révèle dans un même temps l’inanité de ses perceptions.
Laurent Terras questionne le monde. Chacune de ses pièces, de ses histoires, nait d’un foisonnement hétéroclite de matériaux. Eléments en mouvement perpétuel, représentations et sonorités véhiculant une violence latente, le propos de cette quotidienneté est sourd, embué, complexe.
Lydia Scappini
Expositions
2000
Exposition collective, Galerie Jacques Girard, Toulouse
Laurent Terras, Eric Principaud, Tohu Bohu, Marseille
Collaboration à l’installation L’ivrogne de Gilles Barbier, Jour de Fête, Centre Georges Pompidou
Résidences Astérides, Friche la Belle de Mai, Marseille
Résidence triangle france, Friche de la Belle de Mai, Marseille
1999
Performance MEKIMANIPULKI, Lorgues (Var), et pendant le festival GMEM
Exposition collective, Maison du Patrimoine, Six-Fours (Var)
1998
Réalisatin du projet MEKIMANIPULKI, Machine à son/image avec Yannick Lemesle
Résidents 98, Galerie Friche de la Belle de Mai, 1998
Résidence Astérides, Friche de la Belle de Mai, Marseille
1997
Les Enfants de Bonfils, V.A.C Ventabren
Participation au projet Reasons to smile, Jochen Gertz pendant les Rencontres Photographiques, Arles
1996
Stage au Centre Régional de la Photographie de Douchy-les -Mines (Nord-pas-de-Calais)
Publications
Julien Blaine présente Les Enfants de Bonfils, V.A.C, Ed.NEPE, 1997
Les Résidents, Astérides, 1998
Reasons to smile, Jochen Gertz, ed.Acte Sud, 1997
Icard Averti 1,2 ed.Beaux-Arts de Toulon, 1992
Divers
Traversée du Moyen-Orient et de l’Asie du Nord-Ouest, Voyage au Bénin, Maroc...
FREDERIC CLAVERE
Né en 1962 à Toulouse - Vit et travaille à Marseille
Frédéric Clavère pratique souvent une peinture proche du collage. Il est attiré par l'image cinématographique. Et la juxtaposition inattendue, les rencontres. Il peut exposer une suite de toiles, de tissus et de formes en bois découpées ou peintes directement sur les murs pouvant se répondre les uns les autres. Il crée ainsi des rencontres, entre une BMW, un corbillard, une danseuse indienne, l' hermaphrodite rouge, Shiva, deux animaux, le diable...
S'il provoque c'est avant tout lui. L'image atroce (le martyre) est une preuve. Et un jeu. Une épreuve et un jeu.
Frédéric Clavère peint les calvaires. Et la souffrance. Et la violence.
Il ne sait pas ce que ça lui apporte. Il sait qu'il en a besoin. Il construit ses tableaux autour des mythes et de la mythologie. Il tourne autour du secret. Du secret et de l'inavouable. Il n'est pas le premier.
Frédéric Clavère tourne autour d'une connaissance qui passerait par le secret. Il dit que la peinture est obscène et qu'elle peut le surprendre quand il l'a oubliée. Il ne cherche rien. Ou bien il cherche quelque chose du côté du temps. Du côté du temps et du secret.
Jean-Pierre OSTENDE
Extrait du texte du catalogue de l'exposition "Lundi Jamais" (Galerie du Tableau, Marseille et Kunsthaus Hambourg, Allemagne, 1998).
Sélection d’expositions
Expositions collectives
1999
Les Grotesques, Frac Paca, Marseille
Résidence Atelier Le Bras, Nantes, organisée par Les Incohérentes, Nantes-Marseille
1998
Lundi jamais, Kunsthaus, Hamburg
La Collection de Jean-Pierre Alis, Musée d'art moderne de Céret, Céret
1997
Ma belle utopie, Galerie de l’Ecole d’Art, Marseille
RAM Galerie, Rotterdam
1995
GS ART, Ensba et Gras Savoie, Paris
1993
A l’ouest rien de nouveau, Wroclaw, Pologne
1992
De près, de loin, Marseille, Milan, Stuttgart
1988
Biennale de Bologne
1987
Biennale d’Alger
Dates de péremption, Credac Ivry, Frac Paca
1986
Galerie des Rambles, Marseille
Expositions personnelles
2000
Piraterie & Maraudage, Espace Vallès, St Martin d’Hères (38)
1999
La Mariée, les Forgerons & autres Martyres, Galerie Françoise Vigna, Nice
1998
Peintures, Frac Paca, Marseille
1997
Urbi et orbi et plus, Galerie Athanor, Marseille
Galerie du Tableau, W Chelsea Arts Building, New York
1995
Vade mecum, vade tecum, Interface MMM, Marseille
Collections Publiques
Frac Paca - Fonds communal de la Ville de Marseille - Présence dans des collections privées - Vacances Bleues - Regards de Provence - Collection Jean-Pierre Alis, dépôt Musée de Céret
Bibliographie
Catalogue individuel :Piraterie & Maraudage, Espace Vallès, St Martin d'Hères (38)
Catalogues collectifs :Fonds communal de la Ville de Marseille, Ville de Marseille, 1999
Tableaux d’une histoire, Frac Paca, Marseille, Villa Arson, Nice, 1998
Jean-Pierre Ostende, Du côté du temps et du secret, in catalogue
Lundi jamais, Kunsthaus Hamburg, Diem Perdidi, Marseille, 1998
Midi Pile, 41è Salon de Montrouge, 1996
Frédéric Valabrègue, in catalogue Dates de péremption, Frac Paca,
Credac, Ivry, 1987
Articles de presse
Annie Chevrefils Desbiolles, Art Press n°226, 1997
Annie Chevrefils Desbiolles, Art Press n°192, 1994
INGRID MOURREAU
Née en 1969 à Strasbourg - Vit et travaille à Marseille
Des premières recherches expérimentales aux travaux plus récents, Ingrid Mourreau s’intéresse à la multiplicité mouvante et au jeu fantaisiste des apparences. Attentive à nos petites hypocrisies, attentive à tout ce que notre vanité nous fait naturellement oublier (la mesquinerie de nos désirs et de nos renoncements, notre conception grossière du plaisir, nos déficiences sexuelles, la vulgarité de notre philanthropie, nos vaines idées sur l’exclusion, la solitude et le partage, etc...), elle éprouve nos comportements pétris de réflexes sociaux, révèle nos limites idéologiques, désigne nos paradoxes.(...).
À la manière de certains auteurs antiques (tel Cicéron ou Quintilien) qui traitaient l’ironie d’»illusio», qu’il ne faut bien sûr pas traduire par «illusion» mais par «action de se jouer de quelqu’un ou de quelque chose», Mourreau use de cette figure de pensée comme dialectique du ludique et du sérieux(...). Elle use de l’ironie, non comme un procédé (actuellement très en vogue), de la satire, de la dérision, ou de la parodie, mais plutôt par pudeur, en refusant l’ostentation scabreuse ou le déballage indécent de ses sentiments intimes, y compris quand elle se met elle-même en scène (36 15 Zoo, 1995). Difficile de croire, enfin, qu’il ne s’agit pas d’ironie lorsqu’elle choisit, comme source de ses compositions, des images particulièrement emblématiques, frappantes et suggestives, appartenant à notre imaginaire collectif (La guerre des nains, 1997). Car évidemment, Ingrid Mourreau affectionne les mythes, les légendes et les fables, les apologues et les contes, les récits érotiques, les odyssées fantastiques, et parfois, la science-fiction. La plupart de ses grands dessins cristallisent en effet une iconographie attestant un réel attachement à ces genres littéraires, essentiellement figurés, et (coïncidence?) polysémiques.
Rémy Fenzy
Extraits - in catalogue de l’exposition Astérides, Galerie Friche la Belle de Mai, 1998
Expositions collectives
2000
Imageries, Galerie Eof, Paris
Galerie Roger Pailhas, Marseille
Galerie des Grands Bains Douches de la Plaine, Marseille
50 ans du Fonds Communal, Galerie des Beaux Arts, Marseille
Tir Groupé, Tohu Bohu, Marseille
1998
Miroiterie, Ecole d’Art d’Aix en Provence
De beaux Lendemains, Galerie Françoise Vigna, Nice
Lundi, jamais, Kunsthaus, Hambourg
Asterides, Galerie de la Friche, Marseille
1997
Dérives photographiques, 3BisF, Aix-en-Provence
Biennale des Jeunes artistes, Moderna Galerija, Rijeka, Croatie
Biennale des jeunes créateurs d’Europe, Ateliers d’Artistes, Marseille
Réel, fiction, simulacre, Martigues
1996
GTohu Bohu, Marseille
Absolutely Fabulous, Galerie Sintitulo, Nice
Big Girl, little Girl, Collective Gallery, Edimbourg, Ecosse
Bibliographie
50 ans du Fonds communal, Marseille, 1999
Asterides 98, Galerie de la Friche, Marseille, 1999
Lundi, Jamais, Galerie du Tableau
Dérives photographiques, C.A.A.C, 1997
Biennale de jeunes artistes, Moderna Galerija, Rijeka, 1997
ART Press no 242, p92
CR-ROM Tohu Bohu, Marseille, 2000
Cela saute aux yeux, Cyril Lepetit est un obsédé. L’obsession dont je parle, bien sûr, est sexuelle. Mais pas essentiellement : parcequ’obsédé, Cyril Lepetit l’est d’abord, surtout, par quelque chose qu’on appelle l’innocence...
L’innocence ? Quelle innocence ? Celle qui n’existe pas, qui n’a jamais existé, l’innocence guimauve de l’enfant.
Coupable! Coupable! Blond ou brun, rose ou noir, doux ange exterminateur, le tendre pervers polymorphe...Voyez tout se complique d’emblée : de quoi, donc, est-il question ? Vert paradis, du désir et de ses stimuli. Le sexe refait surface, mais le sexe ne compte pas. Ou si peu. Pas besoin de reconsulter Freud. Désirs, désirs...Le vrai sujet : ceci n’est pas une bite! La formule vous rappelle quelqu’un? Rien d’étonnant, Magritte bosse en coulisse. Double-entrée : le réel comme (fausse) allégorie et vice-versa. (...)
Cyril Lepetit procède par déplacements. C’est le fonctionnement de la perversion. Ainsi le fakir posé sur son tapis hérissé de bites en érection (lui-même), tête sphérique hypertrophiée évoquant à la fois un gros oignon et l’oeil-tête des résidents, le sexe démesurément allongé mais mou, appartient à un dispositif piège. Teasing...Le fakir parti, à vous de jouer avec le tapis à bites...mais attention, un autre oeil vous observe, invisible celui-là, l’objectif d’une caméra qui n’en perd pas une miette. Surtout, ne faites pas les innocents, vous ne l’êtes pas. Vous ne l’avez jamais été!...Pas plus que les enfants-acrobates, eux aussi sous surveillance vidéo, escaladant, comme ceux d’une cage à poule, les barreaux d’une échelle surmontée d’une sorte de plafonnier piqué de bonbons à attraper par la bouche...Que faîtes-vous de vos fantasmes ? À l’évidence pas grand chose. Peut-être parceque Cyril Lepetit ne distribue pas, comme c’est souvent le cas dans les dispositifs interactifs, de mode d’emploi. À chacun de participer selon sa convenance ou son inconvenance (..) .
Arnaud Labelle-Rojoux - Extraits
Expositions personnelles
1999
Exhibitionniste poilu au Sento mixte, NIPAF, Neon Hall. Nagano , Japon
Made in Taïwan, Y2K. (Des Rives) - Reforme WhAT, Whashang-Art-District. Taipei, Taiwan.
Des Rives: Yann Beauvais / Thomas Koener - Made in Taïwan
1998
Objets Partiels, La Chambre, Paris 9ème, une proposition de Cyril Ahmed.
1997
Pulsion Partielle, FRAC Basse Normandie, Caen, proposition Sylvie Zavatta & Jean-Jacques Passera.
1996
UP!, Artécole, Galerie des enfants, Hérouville-Saint-Clair.
1995
Depuis l’âge de 10 ans, je rêvais de manger le corps d’une jeune fille, Issaï Sagawa, Espace Dunois, Beaux-arts de Caen, Caen.
Dispositifs activés
réactivés lors d’interventions ou d’expositions collectives
1999
Exhibitionniste poilu: shampouineur, Festival Vidéo Art Plastique, Hérouville St Clair. CCLJ, Concert Jive Biquette, Nördik impakt / Boréales, Rencontre des musiques électroniques du grand nord, Hérouville St Clair.
Fakir / Objets Partiels, Nippon International Performance Art Festival, Japon.
Fakir d’ambiance, Karaoké. Takaoka - Toyama Ken - Japon
Parents, vous devez la vérité à vos enfants! (2), L’art impur, CAC Aix en provence
À table!, FLUID Queen, Champs Élysées,Paris.
1998
Fakir . «Je ne vois pas ce que je fais, mais je le sens», Hiatus, FRAC Basse Normandie et Joël Hubaut
Une bonne école d’éducation au plaisir tant d’un point devue technique que psychologique,Grenier à sel, Honfleur,
À table!, Top-less, Flèche d’or Café, Paris 20ème, proposition de Frédéric Lecomte.
Concentration / Dilatation, Festival Ajutament de Vespella de Gaïa, Taragona, Espagne.
Hypertrophie / Protocole, avec Dr Courbe, Galerie Lara Vincy, Paris
1997
Tape-cul, L’enfance de l’Art Et. Ellie de Brignac, Deauville.
1996
Sans titre explicite, Ouvert la nuit 29 Février au Grenier à sel, Avignon.
1995
Voracité, Essen Galerie Cornelius Hertz, Bremen, Allemagne.
À voir, à boire, à manger, à toucher, à entendre... Soirée GROOMETS, Parc Floral de Vincennes.
1994
Je vais et je viens..., Conference on the move, Galerie Catalyst Art, Belfast, Irlande du Nord.
Souvenir d’un regard d’enfant, Riquiqui Galerie Satellite, Paris.
1993
Peep Show / Machine Individuelle, Centre multimédia Hypolite Mars, Equeurdreville-Cherbourg.
Vidéo
2000
Japon/Taïwan (en cours de montage).
Exhibitionniste Poilu au Sento mixte.
1998
24heures du fakir à La Chambre.
1997
Relax Remix Frankie Goes to Holywood, Cyril Lepetit / Jive Biquette
1996
Parents, vous devez la vérité à vos enfants!
1995
Je ne suis qu’un fragment dépourvu de sens
VIRGINIE BARRE
Née en 1970, vit à Nantes et à Douarnenez
Parti d’un travail que l’on pourrait presque qualifier de classique à l’intérieur de la sculpture, le propos du travail de Virginie Barré s’est peu à peu resséré vers une pratique où le corps, et sa destination fatale, la mort, est l’ objet d’une mise en scène, d’ une narration.
Depuis, le vocabulaire plastique de Virginie Barré a sans cesse navigué entre ces deux pôles que constituent d’un côté le corps et ses multiples définitions plastiques (Les rêveurs, 1997), et la mort, d’une manière plus ou moins allusive (Les corps morts, Cache cache petit mort). Quoi de plus logique alors que de se rapprocher d’un autre espace artistique qui avait déjà largement balisé le terrain de ces deux thèmes, quasi indissociables, que ce soit dans son acception filmique ou sa version livresque. Le «Polar», longtemps tenu pour genre, peut en effet se voir comme le pendant du vocabulaire plastique de Virginie Barré, à moins que ce ne soit l’inverse. (...)
Dans une très courte nouvelle, intitulée Pulp, la romancière Virginie Barré narre les démêlés de son héros, Bill Truston, personnage emblématique du milieu de l’art contemporain, qui n’hésite pas à perpétuer de nombreux assassinats dans l’unique but de fournir à son art de la matière première et nécessaire à sa réalisation. Nous ne sommes pas loin d’un Bret Eston Ellis et du personnage clé d’American Psycho qui lui aussi instrumentalise ses crimes au profit d’une pure «esthétique de la disparition». Autre versant de la transgression : V.B se transforme en véritable réalisatrice de film vidéo (Pulp). (...)
Avec Pauvre Jack, 2000, cette tendance se confirme donc de vouloir s’interpénétrer ces deux univers : l’impression d’avoir affaire à un décor de scène de film est très forte. Pas n’importe quel réalisateur qui plus est ; c’est le maître du film noir, Hitchkock, auquel il est fait référence implicitement et explicitement. En effet, l’accumulation de détails qui ont tous valeurs d’indices fait indéniablement penser à l’auteur de La Mort aux trousses.(...)
Cette méticuleuse composition a des allures de reconstitution , même si la dimension picturale de la pièce est là : les indices-objets sont autant de touches trop bien disposées pour ne pas avoir été couchées par la main du peintre. On se promène dans ce tableau un peu comme les protagonistes du Meurtre dans un Jardin anglais, ne sachant pas trop de quel côté du «cadre» on se situe.
Patrice Joly - Extraits de «Intrigues» in 02
Expositions personnelles
2000 Zooptic, Public, Paris
Pauvre Jack, galerie des Beaux-Arts de Lorient (édition)
1998 Pulp, 1998, Nantes, (journal 1998 mois de décembre)
1997 Pare-contres, galerie des Beaux-Arts de Perpignan
1994 Cache-cache petit mort, galerie Oxymore, Nantes
Expositions collectives
2000
Actif, réactif, Usine Lu, Nantes
Journey to the centre of the universe, Tramway glasgow, Ecosse
Parallel universe, Independant project room, Glasgow
1999
Draw up, Zoo galerie, Nantes
Spazierengehen, Künstlerhaus, Hambourg, Allemagne
Galerie Prima, Kiel, Allemagne
Vidéos, Galerie Michel Rein, Tours
Enlèvement, Labo d’hiver, Nantes
Série noire, Tohu bohu, Marseille
1998
V. Barré, P. Malphettes, B. Peinado, Musée des Beaux-Arts, Rodez (édition)
De-ci, de-là, Galerie des Beaux-arts de Reims
1997
J’ai épousé une ombre, Maison Billaud, Fontenay le comte (édition)
Aujourd’hui piscine, Piscine Gallin, Bordeaux (catalogue)
Exposition Post-diplôme, CRDC, Nantes (catalogue)
1996
Local heros, Galerie Art et Essai, Rennes (catalogue)
1995
Galerie Plessis, Nantes
1994
Germinations 8, Breda, Varsovie, Athènes (catalogue)
Nous ne sommes rien, soyons tout, Bruxelles
A venir :
2001 (janvier) Galerie Françoise Vigna, Nice
2000 (juillet) Air air show, Palais des Arts, Monaco
Résidences, bourses
1996-1997 Post-diplôme, Nantes
1998 Résidence à triangle france, Friche la Belle de mai, Marseille
1998-1999 Résidence à Astérides, Friche la Belle de mai, Marseille
1999 Résidence à la Künstlerhaus, Hambourg
2000 (mai-juin) Résidence tramway, Glasgow
PHILIPPE CHARLES
Né en 1968 à St-Cyr l’école, vit et travaille à Paris
«Je travaille sur les notions de perte du libre arbitre et de liberté, des conséquences de nos actes, de la manière dont on reproduit la cruauté induite par notre relation à notre environnement, de la singularité de nos rapports aux autres, de la perversion qu’elle engendre.
Aussi, j’utilise souvent l’image de la nudité pour les êtres humains et en ce qui concerne les animaux de la perte de leurs attributs protecteurs (plumes, poils...), parfois même de leur peau.
Je les mets dans des situations grotesques ou de détresse mais à priori jamais là où il serait bon qu’ils soient.
Dans les derniers développements de mon travail, l’image de poules et poulets est devenu récurrente ; ils incarnent pour moi l’asservissement total, complètement démunis face à leur environnement qui tend de plus en plus vers une industrialisation absolue. Dans ce processus il n’est plus considéré comme un animal. Il est devenu un pur produit industriel. L’éthique relative aux êtres vivants ne leur est même pas appliquée: le système recycle leurs propres déjections dans les farines qui sont à la base de leur alimentation.
D’autre part la peau du poulet et plus particulièrement celle de la poule lorsqu’ils sont déplumés ressemble de manière troublante à celle des humains même si elle apparaît plus flasque et plus grossière au toucher. En revanche, le traitement de la nudité est identique pour l’un ou pour l’autre. Cela renvoie immanquablement à l’idée de vulnérabilité dans le sens d’une intégrité corporelle déchue ou refusée.
Le côté morbide de mon travail, s’il est toujours présent, est aussi toujours affadi ou désamorcé par la dérision, le grotesque ou une certaine esthétisation de l’image. Dans le film le rêve Martin , le poulet apparaît à la fin , mort, flottant dans l’eau. Cette image n’a pas d’importance car non seulement son image est reléguée derrière le générique mais vient juste après une séquence où l’on voit un ciel nuageux lui non plus sans vraiment d’importance. Le fait qu’il soit mort est considéré comme négligeable.
Ce ton et cette hiérarchisation des évènements renvoient inéluctablement à la barbarie qui sévit dans nos sociétés. L’hyperviolence est omniprésente: les guerres, les répressions, les oppressions font parti de notre quotidien. A tel point qu’il en est banalisé.
Expositions collectives
2000
Traversée transversale, Ménagerie de Verre ( projections ) , Paris
1999
Brightworld , Triangle France, Galerie Friche la Belle de Mai , Marseille
Exposition au Musée d’art contemporain de Santiago du Chili
Les quatorzième Vidéoformes ( Festival d’art vidéo et nouvelles technologies )
1998
Les onzième rencontres vidéo d’ Hérouville Saint-Clair
Festival Les Instants Vidéo Manosque.
1997
Ateliers portes-ouvertes Génie de la Bastille, Paris
Ateliers Portes Ouvertes de Cachan.
Biennale de Cachan.
Courant d’art Deauville.
Résidence
1999 Triangle France, Friche de la Belle de Mai, Marseille
ANNE DE STERCK
Née à Paris en 1971 - Vit et travaille à Nantes
Depuis Big Mac, où Anne de Sterck endosse le personnage de «L’», figure à la fois fantomatique et obsessionnelle à la poursuite de son amour impossible pour Philippe Vergne-à l’époque directeur du MAC à Marseille-, l’artiste réalise des films où elle confond réalité et fiction à l’aide de montages qui rappelle les premiers Godard.
Ses vidéos accentuent les sensations de déplacements virtuels, sans direction définie et sans profondeur : lieu d’errance solitaire (L’Espionne), de rendez-vous manqués (Big MAC), à défaire, où la parole non seulement se répète mais s’articule aussi à seule fin de se commenter. Ainsi l’héroïne qui est aussi l’artiste, nous tourne-t-elle le dos, traverse des écrans comme autant de milieux transparents, d’images spéculaires pour y inscrire des fantasmes individuels contre toutes sortes de simulacres issus de l’expérience audiovisuelle collective dont elle nous invite à décrypter l’état de neutralité, l’inconsistance.
Dans ses travaux plus récents, Anne de Sterck nous propose des bandes-sons, petits scénarios où l’attente du spectateur est constamment déviée, détournée, manipulée, pour un résultat souvent désopilant.
Cette manipulation ironique de l’artiste/metteur en scène est particulièrement présente dans ses “sonoguidés” : une actrice, sur une petite scène, prononce un texte qu’elle ne connait pas, au travers d’un casque. Les indication scéniques lui sont communiquées par bande-sonore (l’artiste bien sûr..) et l’actrice désorientée essaie d’exécuter au plus juste les indications qui lui sont données. Le spectateur n’accède qu’à la traduction brouillée du texte. L’acteur comme le spectateur deviennent alors de petites marionnettes manipulées par une artiste joueuse.
Expositions
2000
International Boutique, Galerie Publique, Paris
Biennale Belgique. Projet en collaboration avec Ivo Provost, Simona Denicolaï et Gaël Darrien.
International Boutique, Public, Paris
1999
Présentation de vidéos, Rencontres d’Automne, Ecole d’Art de Quimper
Programmation de vidéos, Festival de l’art vidéo, Musée d’Art Contemporain de Lyon
Galerie Ipso Facto, Projection vidéos, Nantes
1998
Création du personnage jaune : «L’Espionne»
Organisation de l’événement Courir à l’envers,en collaboration avec le projet 1998 (publication),Nantes
Performance vidéo-danse avec Olia Lydakis, Petit Panorama sur la danse, Nantes
Exposition collective Post-diplôme, (catalogue), Nantes
1997
Exposition collective, ateliers Astérides, Galerie Friche de la Belle de Mai, Marseille
Exposition collective, Galerie de l’Ecole des Beaux-Arts, Aix-en-Provence
1996
Création du personnage vert «L’»
Performance clandestine, Carré d’Art, Musée d’Art Contemporain de Nîmes, réalisation d’une vidéo
Performance clandestine, MAC, Musée d’Art Contemporain de Marseille, et réalisation de Big Mac
Publications
2000
Participation au catalogue «Buy-Sellf», association Zebra 3, Bordeaux
1998
Catalogue Post-diplôme ERBAN, Nantes Bourses et séjours
1998
Bourse Post-Diplôme. Ecole des Beaux Arts, Nantes
1997
Résidence Astérides, Friche de la Belle de Mai, Marseille
1996
Bourse d’étude à l’Université du Québec, MontréalFormation
1998
Post Diplôme, Ecole des Beaux Arts de Nantes
1996
DNSEP, Ecole des Beaux Arts de Aix-ren-Provence
1993
Matrîse Arts Plastiques, Universdité de Aix-en-Provence
STEPHANIE MAJORAL
Née en 1966 à Montpellier - Vit et travaille à Marseille
Les installations de Stéphanie Majoral, sortes d’événements perceptifs, jouent sur des présences révélées (à la manière de la révélation photographique), sur des disparitions (comme captation ou mise en mouvement du regard), utilisent des jeux de visions familiers. Cependant, la matérialité du dispositif se veut détachée de tout appareillage technique, la plus simplifiée et épurée possible. En intervenant directement sur les murs et à leur échelle, les installations répondent à la volonté de ne pas créer un objet centrifuge où le regard serait spécifiquement dirigé.Le fractionnement et le nomadisme du regard, la prise en compte de l’espace de manière non ostentatoire ou démonstrative, amènent à une «latéralité» de l’oeuvre, par rapport à laquelle le spectateur ainsi que sa vision peuvent se mettre en mouvement en dehors d’une perspective euclydienne. Ces dispositifs utilisent en général des représentations de l’ordre du «cliché», du lieux commun (du paysage, de la fenêtre, du meuble...) pour créer une reconnaissance immédiate, sans prise en compte kitsch ou sociale. Quand l’image photographique est traitée à grande échelle, il ne s’agit pas de faire quelque chose de grandiose ou de lyrique, mais d’introduire cette image dans le champs des sensations. Le travail de l’image à l’échelle du mur amène à une sorte d’intimité par l’immersion du regard...
Expositions personnelles
1995
Entre chien et loup, Medhamothi-artistic cockpit, Montpellier.
1991
Atelier du Grand domaine, Marseille.
Expositions collectives
2000
Reflex, Printemps de la photographie de Barcelone, Espai 22a, Barcelone.
1999
Astérides, Friche Belle de Mai, Marseille.
Petit festival de Belvezet, Belvezet (Gard).
1998
Cet été là, Centre régional d'art contemporain, Sète.
Or paires-Rencontres n¼12, La Vigie, Nîmes.
1997
Temps variable sur l'ensemble du territoire, Iconoscope, Montpellier.
Temps variable en el conjut del territori, Espai 22a, Barcelone.
Ricochets-Rencontres n¼10, La Vigie, Nîmes.
1996
Chiaroscuro, Care Of, Milan, Italie.
1995
Stéphanie Majoral-Salvador Moreno, Iconoscope, Montpellier.
1994
En cours, Petits papiers d'artistes, Galerie ESCA, Milhaud.
1993
Dégustation, Vivement l'été! Ouvert l'hiver, Nîmes.
Une génération, Galerie ESCA, Milhaud.
Tronc, Iconoscope, Montpellier.
1992
Galatée, Musée des moulages, Université Paul Valery, Montpellier.
1991
Espace de l'art, espace d'une ville, Le Cannet
Mois de la Photographie, Lima, Pérou.
1990 Etats des lieux, ACAL, Montpellier.
Ecole des Beaux-arts de Nîmes. Résidences
1998
Cité des arts, Paris
1999
Triangle France, Friche Belle de Mai, Marseille.
1999
Astérides, Friche Belle de Mai, Marseille.
2000
Hangar,Barcelone.
DENIS BRUN
Né en 1966, vit et travaille à Marseille.
Pendant le vernissage de l’épisode 3, le 5 octobre, Denis Brun présentera une déambulation de ses vêtements.
«Lorsque je demande à des personnes de porter mes robes durant un vernissage, j’ai la sensation de créer un simulacre (pas assez discret pour passer inaperçu, mais presque...) et d’y jouer le rôle du faux styliste qui explique son travail à qui veut bien l’entendre.
Parfois, j’ai pourtant l’impression qu’il est périlleux de vou loir singer l’univers de la mode sous couvert de l’art. En effet, on me croit capable de prouesses techniques au dessus de mes moyens, loin de mes préoccupations plastiques, alors que je veux simplement construire des collections à la main et les faire porter dans les vernissages pour ensuite présenter les robes déjà portées en tant que sculpture. Si je répète les mêmes gestes en recréant toujours d’après le même patron, c’est aussi avec la volonté de retenir le temps sur le vêtement.
Petit à petit, ce dernier perd son utilité première qui est de vêtir de la façon la plus seyante, pour devenir un «pénétrable» dans lequel le corps continue à s’exprimer très simplement.
De même la garde robe garde son identité sans que se fasse automatiquement la synthèse «représentation/corps/vêtement» dans ce qu’elle a de plus communément évocateur et restrictif.»
Denis Brun
Expositions Personnelles
1999
Freestyle mental, Musée d’Art Contemporain, Nice.
1990
Ben présente, Galerie Forum Casino, Nice.
Expositions collectives
2000
Regards de femmes, Musée de la Mode, Marseille.
Création musicale pour Concert autistique, Gilles Barbier, Jour de fête, Beaubourg, Paris.
1999
Banco, Le Logoscope, Monaco.
Exposition d’Octobre, Galerie de la Friche de la Belle de Mai, Marseille.
Drive in, Parking de l’hôpital l’Archet 2, Nice.
Action-man-oeuvres, triangle france, La Cité Radieuse, Marseille.
Du côté de chez soi, Galerie de la Friche de la Belle de Mai, Marseille.
Mission Impossibile, Stand de la Station, Bologne, Italie.
1998
Living room, Grenoble.
Surplus, La Station, Nice.
Médiarama 2, Monaco.
keativ leben, keativ sein, Jugendkulturrhaus, Zurich, Suisse.
1997
Adieu monde cruel, Magasin de l’électricité générale, Paris.
Sculptures d’été, Galerie Sin Titulo, Nice.
Wonderkammer, Galerie Pierre Nouvion, Monaco.
1995
Get on board, Galerie Air de Paris, Nice.
Sélection de Vidéos
2000
Vidéoformes, Clermont-Ferrand.
Circus, Galerie de la Friche de la Belle de Mai, Marseille.
Neige sur Neige, Québec, Canada.
Société Virale & Cimetière Global, Accès Local, Paris.
1999
12èmes Instants Vidéo, Manosque.
13èmes Rencontres Vidéo Art Plastiques,Centre d’Art Contemporain, Hérouville Saint-Clair.
Pavillon Italien, Galerie Careof, Biennale de Venise, Italie.
Vidéothèque Ephémère, Accès Local, Paris, Espace Croisé, Lille, Galerie ESCA, Milhaud.
Téléo, Manifestation audiovisuelle & multimédia, Nantes.
Dérushage 99, Frame, trame, drame, Cannes.
Troisièmes Rencontres de jeunes artistes vidéo, Le Matin Bleu, Annecy.
Young & French 2, Museum of Contemporary Art, Helsinki, Finlande.